"On ira où tu voudras quand tu voudras, tadam, et l'on se retrouvera lorsque l'amour sera mort, tadam, toute la vie sera pareille à ce matin, tadam, aux couleurs de l'été indien, wouin wouin !"
Où tu voudras quand tu voudras, qu'il dit Joe, bah moi, je dis banco, en ce moment, c'est l'été indien, on va au jardin des Tuileries (d'où la tuile, mouarf mouarf, comment ça ça s'améliore pas ?)
Le jardin des Tuileries fait partie de nos jardins préférés, on ne peut résister à se balader au milieu des superbes sculptures sur le fameux sable blanc des jardins parisiens (comment ça, il blanchit également les pieds, les mains, les jolies chaussures et les jolis ongles de pieds manucurés ? Mais messieurs-dames, foulez ce sol, ça se mérite !) ! Devant nous l'Obélisque, derrière nous le Louvre et sa pyramide (ou l'inverse, ça dépend dans quel sens on se balade !), au loin zi Eiffel Tower, autour de nous l'architecture parisienne dans toute sa splendeur, décidément, on s'y sent bien dans ce jardin ! Et puis, il y a les grands bassins où l'on peut faire voguer de jolis bateaux, histoire d'avoir l'impression d'être une famille du Paris de la belle époque, les trampolines, histoire d'avoir l'impression d'être une famille de ce siècle, le manège de chevaux de bois, de trains, de voitures, de motos et d'avions histoire d'avoir l'impression d'être une famille entre les deux...
Et puis attention, au jardin des Tuileries à côté de toutes ses activités payantes (2 euros pour le trampoline, 1,50 euros pour le manège), il y a les aires de jeux qui elles sont libres, avec grand toboggan, multiples jouets qui remuent et espace ombragé (et ça, c'est pas toujours gagné à Paris) pour que les loustics ne sortent pas avec une insolation de ce fabuleux jardin !!! S'il vous reste quelques euros avant de partir (3 exactement) vous pourrez faire découvrir à la prunelle de vos yeux les joies de l'équitation (comprenez un petit tour à dos d'âne ou de poney), pendant que vous investirez tranquillement l'un des transats du parc avant de repartir dans la folle course parisienne !
Le petit bonheur de ce jardin : même quand il y a beaucoup de monde, les allés transversales permettent de ne pas se sentir collé-serré avec les autres visiteurs !
Le petit malheur : quand on est équipé d'un modèle à-4-pattes-qui-ne-sait-pas-encore-marcher-mais-qui-a-besoin-de-se-dépenser (en l'occurrence, notre P'tit Deuz), à part les quelques pelouses, on devra le tenir en respect dans ses bras ou sanglé dans sa poussette, sous peine de devoir le renommer "Mime Marceau" rapport à notre très grand ami le sable blanc !!!
Bonne balade et à très vite !
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